Saturday, May 12, 2007

Soooooo it might have taken me the best part of the afternoon (which isn't that bad as it allowed me NOT to clean up this appartment) but I've closed the NYC file - so now I'm ready for Tunisia!
Wheeeeeee!
Parce que je suis indomptable, je crois que je n'ai pas pris mon express de la semaine pour revenir chez moi après le travail : je prenais plutôt l'autobus qui m'amène au terminus (qui passe plus tôt de toute manière) et je profitais du beau temps pour marcher jusqu'à chez moi.

Ça me donnait une excuse pour marcher sans qu'on puisse m'accuser de malmener mon genou intentionnellement. Ou presque.

C'est pour cette raison que je me rendrai à la caisse déposer mon chèque d'augmentation à pied en fin de semaine. Et que je me rendrai également au centre d'achat faire mes commissions à pied. J'aimerais bien aussi aller découvrir les pistes cyclables du coin, mais pour ça, j'aurai préféré qu'il fasse plus chaud, alors ça sera sans doute une autre fois.

Vous voyez donc que vous devriez remercier le ciel d'être vous, et non pas mon genou.
There are stairs in my appartment. Six steps.
And because what serves as the hall, that is the ridiculously small space between the door and the stairs, is, well, ridiculously small, when I take off my shoes on my way in, I leave them on a step.

Because my financial priorities during my student days were the rent and other associated fees, I never was one of those girls who own tons of clothes or shoes. This is why at most this winter, there were three steps occupied by footwear: work boots, sporty boots, running shoes.

However, I do splurge on cheap bags and flip flops - that's my personal spin-off of the shopping addict cliché.

On Thursday, when I came home after dance class and I took off my shoes, I realized I had to put them on the last step - that means the whole staircase is filled with shoes, now.

Oops.

Friday, May 11, 2007

I still think I started this - except that I never meant to. I never saw it coming, and I'm still wondering where it came from.

Which is perfect because it allows me not to wonder or think about anything else while I'm busy being speechless.
I thought I should share with you loyal readers that it's not at all easy to convince a cat that's recently been de-clawed to use that shredded paper filled litterbox.

So far the count is: Sambuca:2; Quartz:0.
En fin de semaine, je n'ai rien de particulier de prévu; je crois qu'il faudrait que j'en profite pour terminer la mise à jour de ma page sur New York sur VirtualTourist, après quoi je pourrai me pitcher toute entière dans les préparatifs du voyage en Tunisie.

J'ai commencé à lire mon guide de voyage sur la Tunisie dans l'autobus, et tout à l'heure j'ai relu les quelques pages qui y sont consacrées dans mon dictionnaire touristique. Ça m'a remise dans l'atmosphère des voyages - je suis revenue depuis même pas deux semaines et j'ai l'impression que ça fait des siècles déjà - et j'ai contemplé rêveusement les trois livres que je m'étais procurés juste avant que le projet Angleterre-Écosse-Irlande soit mis sur la glace à la suite du malencontreux accident de voiture de Tweety : un sur l'Écosse, un sur la Grande-Bretagne et un sur Londres.

En général, j'achète mes guides uniquement quand je prépare un voyage et non pas au hasard, pour le jour où j'aurai envie de partir. C'est pour ça que le guide sur le Portugal, que j'ai eu gratuitement à l'achat de celui sur la Tunisie, détonne dans le lot.

Par conséquent, je commence à me dire qu'après la Tunisie, qu'après la Grande-Bretagne, il faudrait logiquement que j'aille faire un tour au Portugal. Bon, ça serait sans doute pas avant 2009 ou 2010, le temps que mes finances récupèrent - mais bon, qui vient avec moi ?
Tenez, j'ai complètement oublié de vous annoncer que j'ai enfin une véritable plaque avec mon nom accrochée à l'entrée de mon cubicule depuis hier avant-midi.

Je suis maintenant une véritable professionnelle.

Car chacun sait qu'on mesure le professionnalisme de quelqu'un par l'existence et l'importance d'une plaque à son nom...

Thursday, May 10, 2007

Catégorie "câlisse"

Hier soir, j'étais déprimée. Quand je suis déprimée, je suis incapable de faire quoi que ce soit d'autre que de m'asseoir et broyer du noir - en général, je finis par me relever vers 9h, quand il finit par faire assez noir pour que j'arrive à me motiver à fermer mes rideaux, allumer quelques lumières et la télé. Bref, mes passes de déprime me permettent d'économiser l'électricité.

Hier soir donc, en plein épisode dépressif, je me rends compte que je n'ai pas de restes à utiliser pour mon lunch du lendemain, soit aujourd'hui. Je décide donc de faire cuire des sidekicks.

J'ai mis l'eau et le lait et j'ai allumé le rond du four.
Je suis retournée déprimer en paix.
Au bout d'un bon 15 minutes, je suis repassée dans la cuisine, où j'ai aperçu ma casserole qui bouillait de bon coeur. Shit.
J'ajoute le mélange du sachet - parce que merde, il me faut bien un lunch, sinon je sais que je ne mangerai pas demain midi - et je retourne à mes affaires. Car je n'apprends vraisemblablement pas de mes erreurs.
Vous devinez bien que j'ai à nouveau complètement oublié que j'avais quelque chose en train de cuire, et que mes sidekicks ont collé au fond de la casserole, où le lait brûlé était déjà collé.

Eh bien laissez-moi vous dire que j'ai passé pas mal de temps à frotter le fond de cette maudite casserole-là ce soir, entre de nombreuses tentatives de trempage, et BORDEL, le tout n'est pas encore décollé.

Catégorie "yessir!"

J'ai sorti mes poubelles tout à l'heure.
Mon sac à vidange s'y trouvait toujours.
J'aurais jamais cru un jour être heureuse d'apercevoir mes vidanges.
Et je réalise à l'instant que j'ai oublié de demander à A si ses sacs à poubelle disparaissent mystérieusement, elle aussi.

Catégorie "allez-y, foutez-vous de ma gueule"

J'ai manqué le cours de danse de la semaine dernière puisque j'étais chez mes parents. Maridi m'avait dit qu'on n'avait pas vu grand chose : un seul nouveau mouvement qu'elle m'a montré en quelques secondes, qui ne me semblait pas particulièrement compliqué.

Ha, la bonne blague. J'ai mis le cours au complet à le maîtriser à 70% environ. C'est l'avant-dernier mouvement de l'enchaînement qu'on répète en diagonales pendant la majorité du cours, et il exige tellement de concentration de ma part que chaque fois, j'en ai complètement oublié le dernier mouvement, qui est ce qui se fait de plus simple. Ri-di-cu-le. Mais bon, ça a bien fait rigolé la prof et son assistante.

Ce que je peux faire, pour faire rire le monde, ça se dit juste pas.

Enfin bref, j'ai pratiqué tout ça pendant un certain temps en revenant chez moi (entre mes tentatives de frottage de casserole, tenez), et je crois avoir réussi à assimiler le tout honorablement.
Oh.my.god.

Cette année, mon traumatisme lié à l'approche de mon anniversaire débute tôt : je viens tout juste de réaliser qu'après mai, c'est juin, et qu'après juin, c'est juillet.

Ça y est, j'ai la chienne.
Peanut has officially become my personal graphic designer, it seems.

He's the one who modified the stitched pic of Tweety and I at Wanuskewin Heritage Park (on the homepage of Vers l'infini) to erase all landscape inconsistencies in the background.

He also modified a logo I had drafted in Paint for a team project in Uni.

Then he designed Supra Toaster.

Lately, he also manually stitched together two distinct pictures of Tweety and I in Central Park, which I planned to put together using the stitching software I have at home. He did it himself before I got around to trying myself, though.

And now he's decided Quartz's Song needed a banner and he's working on it.

Des services professionnels gratuits de graphisme contre deux tables de chevet, ça me va. C'est sans doute moi qui en sors gagnante, en réalité !
Me croirez-vous si je vous dis que je n'arrête pas de repousser le moment de vider mes poubelles intérieures depuis mon retour chez moi parce que je redoute celui d'ouvrir la grosse poubelle extérieure ?
Pourtant, c'est vrai.

Elle devrait contenir un gros sac à vidanges noir à l'intérieur duquel devrait se trouver un seul petit sac que j'ai sorti il y a deux semaines.

Mais j'ai peur qu'il n'y soit plus, et je n'ose pas faire mes poubelles !

Wednesday, May 09, 2007

Merde.

Je suis en train de recommencer à me ronger les ongles.

J'ai l'impression de passer ma vie à me casser la tête à régler les mêmes problèmes encore et encore.
Ah ben câline !

En fouillant dans mes archives, je suis tombée sur un post où je raconte que j'ai dû acquitter une facture de carte de crédit qui était plutôt élevée puisque j'avais effectué ce mois-là l'achat d'une balayeuse et des deux tables de chevet que Peanut et moi nous étions procurées au IKÉA.

Hé ! C'est que ça veut dire que les deux tables de chevet étaient à moi, ça !!! J'avais complètement oublié - moi qui me croyais infaillible.

C'est pas trop grave que je les lui aie laissées puisque mon principal élément de bonheur quand j'ai enfin quitté l'appartement était que j'allais pouvoir m'acheter d'autres tables de chevet IKÉA que j'adorais littéralement et que j'avais spottées depuis des mois. En d'autres mots, j'aurais probablement fini par les lui laisser de toute manière. Mais quand même.

Peanut ! Contre quoi tu m'échanges mes tables de chevet ?
God you screwed me up. I have no idea how long it'll take for me to gain back my balance - if I ever do.

I must be sick. I must be hiding. I must be empty.

It's just the moon and me.
When I got up this morning, I instantly noticed something was missing - the pain in my knee.

Tuesday, May 08, 2007

Peanut a deux phrases-clefs qu'il aime bien me répéter régulièrement. D'abord, il me pitche de grands BRA-VO ironiques quand il a l'occasion de rire de moi; sinon, il s'amuse à me répéter à quel point il adooooooore mon innocence.

Eh bien, vous savez quoi ? Elle fait mon affaire, ma pseudo-innocence, moi ! C'est pratique, prendre les trucs au premier degré sans trop creuser; ça me permet de me convaincre d'ignorer des tas de non-dits dont je préfère ne pas être consciente.

Comme aujourd'hui. J'ai reçu en après-midi un e-mail vraiment très perturbant. Je pourrais commencer à lire entre les lignes, à remettre la situation en perspective ou à me demander pourquoi on a pris la peine de m'envoyer ce e-mail au bureau.

Mais je ne le ferai pas, parce que je suis pas mal certaine que s'il y avait des sous-entendus dans ce e-mail-là, eh bien, je veux pas les connaître. Je vais plutôt prendre tout ça au premier degré puisque c'est suffisant pour troubler de toute manière !
Si c'est pratiquement impossible que ça se produise, ça m'arrivera à moi. Cette phrase décrit parfaitement ma vie à tous les niveaux, mais c'est positif autant que négatif.

Ainsi, moi, je rencontre des gens sympathiques là où on s'y attend le moins. D'abord, l'autre semaine, à la caisse pop. Puis, aux douanes (qui parmi vous a déjà fait des jokes avec un douanier américain à genre une heure du matin ?). Et ce soir, à un endroit encore plus inusité : à la SAAQ.

Je vous jure ! La dame était super joyeuse et gentille ! J'avais jamais vu ça !

Je devais renouveller ma carte d'assurance-maladie et mon permis de conduire, et après avoir pris ma photo, la dame s'est écriée : "wow ! c'est vraiment une bonne photo ! viens voir ça !" Qui savait que les employés de la SAAQ pouvaient faire preuve d'enthousiasme ?

Du reste, un autre truc impossible que je réussis sans trop de mal depuis mes 16 ans, c'est bien d'avoir des belles photos sur mon permis de conduire : ça a été le cas des quatre permis que j'ai eus à ce jour (permis d'apprenti, permis probatoire, vrai permis). C'est troublant parce que sur toutes les autres photos d'identification (cartes étudiantes, d'autobus et autres), je fais aussi dur que n'importe qui.

Mais bon. Sinon, pour fêter le soleil, la dame sympathique de la SAAQ, mon rendez-vous chez la physio et ma belle photo des quatre prochaines années, j'ai profité de mon passage au centre d'achat pour dépenser un peu avant de rentrer chez moi à pied. Je suis allée cherches mes photos de New York à vélo, suivant un trajet tout à fait anti-optimal - la pharmacie n'était définitivement pas là où elle était située dans mes souvenirs. Ça vous dit à quel point je vais souvent à la pharmacie... bref. En revenant, mon genou commençait à protester. Il me déteste, et je commence à le prendre sérieusement en grippe moi aussi.
Yes, I always wait until things worsen before I get help. No matter how often Rob will tell me it is stupid to suffer for no reason!

This is why it took the trip to NYC and an ongoing pain in my knee (today's Day 10, damn it) to get me to seek Em's advice and make an appointment with a physiotherapist for next week.

Don't give up on me, people!

Monday, May 07, 2007

Je me sens vraiment handicapée : ça fait aujourd'hui cinq jours que je suis revenue de New York, et mon genou me fait toujours mal. Oh, pas énormément, mais quand même. Comme Em a dit qu'il était sans doute inflammé, j'ai recommencé à prendre de l'ibuprofène, et je suis son conseil de mettre de la glace dessus. J'ai téléphoné tout à l'heure pour prendre rendez-vous avec un physiothérapeute, et on me rappellera demain. Je suis quand même condamnée à réduire mon activité physique au minimum - mais je me refuse à laisser tomber le badminton et la danse. Quand même. Ya des limites à être couch potatoe.

J'ai reçu ce soir un e-mail m'indiquant que mes photos étaient disponibles à la pharmacie dès 16h. Je suis pas allée parce que pas motivée; je vais y aller demain.

Et c'est quoi, la bonne nouvelle, vous croyez ?
C'est que la pharmacie n'est pas très loin de chez moi, ce qui signifie que je vais pouvoir y aller en vélo, histoire de satisfaire à la fois le besoin de douceur de mon genou et mon besoin à moi de bouger un peu !

On prend les petits bonheurs qu'on peut, dans la vie...
This is as ridiculous as it gets: I want to create a photo album on MSN Spaces in order to put up a few NYC pics.

Except that I couldn't think up any smart title or URL, so it's not gonna happen until I do. I'll work on the NYC section of my VirtualTourist homepage instead.

Now it's time to start preparing for Tunisia - I've found a travel clinic nearby which we'll have to call. This is me praying there is no mandatory vaccination.
Anyway, Maridi and I have decided that as soon as she receives her new passport and we get our vacation time approved, we're booking the flight.

So very exciting.
The pain is gone.
The hate is gone.

At least, most of it, that is the part that posessed the ability to vanish, is.

What do you know - poison eventually dries out. Even after accumulating so fast, you have no way of spitting it out quickly enough; even after transforming you into a lower-scale kind of poison as well.

It didn't take long before I knew the solution was remembering without reliving it all, but it took time before I could pull that off. So for a hell of a while, it seemed - and I truly believed - that I would always have to go back every now and then in order to remember. Go back simply to take one more look at the hurt, the excruciating pain, the games, the betrayal, the lies, the confusion, the fucking fear that got all of us there - just to take one more look so as never to lose focus, so as to remind myself of how it all goes down. And I could've sworn I would always remember you, and each and every one of your crappy words and actions.

But I only just realized - I don't remember you. All I have left of you is the lessons your cruelty has taught me. All I remember is the lousy kind of person you are, and the fact that I don't want or need any of you in my life.

I threw everything away on purpose because I got so damn fed up, and the fact that it was on purpose undoubtedly makes me a horrible person - but even now, I don't care. I'm not sorry, never going to be sorry - but because I'm not sorry doesn't mean I'm proud of my actions or I'll behave the same way again when I get the chance.

Being poisonous is an experience; it melts everything away, throws your principles out the door and creates the destruction that your soul just might long for. But living off destruction isn't the way I want to be moving on anymore.

If you were worthy, you gave me a sign, whether it be explicit or not - and damn it, this is all I ever was asking for. I took violent blows for each and everyone of you because you were worth it in my eyes, and for once, I was the one in need of that kind of catcher in the rye. So barely anyone tried to catch me - all I needed then was some acknowledgement. And now what may work with you might be bitching, pretending or straight talk; it's fine.

There is no more pain, no more hate - but no more past, either.

I have forgotten all about you, and it's only when darkness closes in and the winds start blowing that I'll think of you - that I'll be inadvertently going back. Maybe I'll cry again, maybe I'll feel nostalgic - but only for a moment frozen in time that is not going to matter.
Depuis que je suis déménagée à l'autre bout de la planète, mon cerveau rame. Il cherche partout des visages connus, et je passe mon temps à croiser des personnes qui me font penser à des gens que je connaissais dans mon ancienne vie. Juste ce soir, tenez, en revenant du bureau, j'ai croisé les sosies de ma boss du resto où j'ai fini par occuper tous les postes, du légendaire M. Sexy et de mon prof d'anglais II, au cégep.

Mon pauvre cerveau tout déstabilisé me fait le même coup quand je retourne à Montréal : à ce moment-là, je me mets à halluciner les gens que je côtoie en Outaouais. Un jour, il faudra que je lui explique le principe.

Bref.
Voilà pourquoi je ne me suis pas trop étonnée, il y a deux semaines, quand j'ai aperçu, dans la file d'attente pour l'autobus de 10h30 direction New York, une dame qui ressemblait fortement à la relectrice avec qui je travaille, et qui était en congé de maladie depuis un certain temps.

Je l'ai observée pendant une minute ou deux, espérant l'entendre prononcer quelques mots, ce qui m'aurait permis de l'identifier hors de tout doute raisonnable. Comme elle ne parlait pas, j'ai reporté mon attention sur Tweety à mes côté, me disant que de toute manière, je voyais très mal ce que la relectrice viendrait faire à la Station centrale !

Or, ce matin, en discutant avec elle, j'ai découvert que oui, c'était bel et bien elle qui se trouvait à genre 5 pieds de moi, à la Station centrale.

Bravo, Quartz.

Sunday, May 06, 2007

Quartz : On s'est filmées en train de chanter Billy sur le Brooklyn Bridge.
Maridi : On avait tellement fait ça nous aussi !
Tweety and I stayed in NYC five days; that is, two days more than in 2004.

In absolute terms, it cost me exactly 100$ more. Which is amazing.
Being finally back home in a apartment containing barely any food, a cat that defintely missed me and that calls for a lot of cleaning up and laundry (the apartment, not the cat) reminds me of how much I loathe unpacking my things after a trip.

Right now I'm taking a productive internet break to get my pictures processed, after which I will complete the unpacking and laundry tasks.

It's not traveling that's exhausting; it's coming back.

Comme je commande plus de 100 photos, j'ai droit à un agrandissement 8X10 gratuit. Ça me trouble. J'ai donc choisi de faire agrandir la seule photo où moi et Tweety figurons toutes les deux. Suis pas sûre de l'afficher, mais bon, quand c'est gratuit....!